Non, ce n'est pas le retour définitif, celui qui signe à coup de pleurs et d'amertume la fin d'une année extraordinaire. Ce ne sont que deux semaines de vacances, mais je goute déjà à la saveur triste d'un retour solitaire dans le train. Je sais que ce ne sera pas facile lorsque, en Aout, je devrai revenir en France et quitter des amis que je ne reverrai probablement jamais. Et au final, 11 mois dont je me souviendrai toujours.
Mais une fin appelle toujours un début. Si je dois quitter la vie trépidante de l'étudiant Erasmus, ce ne sera que pour aller vivre d'autres expériences, ailleurs. Comme le dit Nietzsche, ce qui ne me tue pas me rend plus fort
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- written on: 2004-04-22
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